La RMS est née de la fusion de six journaux en 1998
En Suisse, les premières revues musicales apparaissent au 19e siècle. Elles sont généralement liées à la vie des chorales, et ce longtemps encore durant le siècle suivant. Plusieurs d'entre elles se sont séparées ensuite en plusieurs périodiques, mais en 1998, six associations musicales dotées chacune d'un organe officiel se sont réunies pour fonder la Revue Musicale Suisse. Aujourd'hui, la Revue regroupe 14 associations et organisations musicales.
En janvier 2013, la Revue Musicale Suisse a mené à bien une démarche de réflexion et de transformation qui l'a conduite à redéfinir son contenu ainsi que la présentation de son édition imprimée et de son site Internet.
Nous remercions la Fondation Suisa, Pro Helvetia, Société Suisse des Artistes Interprètes et Stiftung Phonoproduzierende pour leur soutien dans cette opération.
Le 28 novembre 2014, lors d’une assemblée extraordinaire des délégués, l’Association Revue Musicale Suisse a décidé de confier à la NZZ Fachmedien AG l’édition de la Revue Musicale Suisse et elle a décidé la liquidation de l’association. Plus d'infos.
Depuis le 1 octobre 2020 la Revue Musicale Suisse appartient à Galledia.
Nathalie Vuillemin am 15.02.13 - 11:48
Toujours la même énergie!
J'ai eu l'occasion il y a une vingtaine d'année de réaliser avec Mireille un programme Kurtág, basé sur le dessin de partitions et une approche du piano très déconcertante pour l'esprit classique que j'étais (et suis toujours...). Si je n'ai pas perçu à l'époque tout l'apport d'une telle expérience, je salue l'énergie, l'originalité et le courage de cet enseignement. J'ai l'occasion aujourd'hui de me confronter d'un point de vue critique et réflexif à certains postulats théoriques et graphiques de la musique contemporaine pour piano et je suis heureuse de pouvoir faire résonner cette approche intellectuelle avec une expérience concrète, même si je ne peux me départir d'une certaine perplexité quant au dépassement de la dimension expérimentale, ludique ou provocatrice de ces démarches. Dans le cas présent j'admire l'originalité des créations des enfants, preuve de leur étonnante capacité à aprivoiser la nouveauté. Je regrette de n'avoir pas assisté à l'exposition.